HYUNDAI : Sur la route des vacances en IONIQ 5 électrique

Raphaël et sa famille ont rallié l’île de Ré depuis Clermont-Ferrand avec leur nouveau véhicule. Retour sur « une bonne surprise » qui nécessite de prendre quelques précautions.

477 KM SANS BRUIT, et finale ment sans stress.

Raphaël, Clermontois de 60 ans, était hier, en début de soirée, aussi heureux de commencer ses vacances que d’avoir réussi en tout point son premier long trajet avec sa nouvelle voiture électrique. « Je l’ai reçue il y a quin ze jours seulement, explique ce chef d’entreprise, spéciali sé dans l’aménagement de bureaux. Une Hyundai Ioniq 5, un grand modèle familial. Pas du tout l’idée que je me faisais des voitures électri ques. Je n'avais eu jusqu'à maintenant que des modèles essence ou diesel, alors je l'avoue, j’appréhendais un peu. » Il avait donc pris le temps de tout planifier, deux jours avant son départ en famille pour les grandes vacances, direction l’île de Ré (Charente-Maritime), où ils ont loué une maison.

Vingt minutes pour repartir

Le concessionnaire Hyundai avait pris soin au préalable de lui recommander quelques applications. Dont Chargemap*, qui permet d’identifier les bornes de recharge dispo nibles sur le parcours. « C’est très bien fait, reconnaît Raphaël. On m’a demandé tout un tas d’informations, le modèle, la puissance, le trajet évidemment, la vitesse max à quelle serait ma charge au départ. Et même celle en des sous de laquelle je ne voulais pas descendre, afin de con server une petite marge. » Grâce à l'application, le dé roulement du parcours était réglé comme du papier à mu sique ! 477 km, donc, entre Clermont-Ferrand et l’île de Ré, qu’il pouvait parcourir en 5 h 38, deux pauses de vingtquatre minutes incluses et destinées à recharger partiel lement la voiture.

À bord : sa compagne, Françoise, ravie de ce voyage ; ainsi que Claire, 27 ans, la fille de Françoise.

Le scénario du trajet idéal a pourtant failli voler en éclats hier matin. « Quand j ’ai voulu repro grammer l’itinéraire sur l’application, celle-ci m’en proposait un comportant un arrêt... de 1 h 30 pour rechar ger la voiture.»

Heureusement, après une demi-heure de route, l’appli cation propose à Raphaël une alternative avec une seule re charge sur Faire de BoisMandé, sur la commune de Saint-Sulpice-les-Feuilles (Haute-Vienne), après 225 km de route, parcourus en 1 h 57, péages compris. Là une borne dite « ultrarapide » de 350 ki lowatts, l’attend. « J’ai branché la voiture sur la seule des quatre prises qui était libre puis nous sommes allés dé jeuner. Au bout de vingt mi nutes, la voiture était prête à repartir mais pas nous ! » rigole Raphaël.

Dans ce laps de temps, la batterie est passée de 27 % d’autonomie à 100 %. Largement suffisant pour parcourir les quelque 250 km restants.

"Une accélération foudroyante »

Une expérience qui conforte Raphaël dans son choix d’être passé à l’électrique. « C'est une bonne surprise. Le trajet était apaisant, on se sent com me sur un coussin d’air, expli que le chef d’entreprise après avoir déchargé les bagages. Il n’y a pas de vibrations, pas de bruit de moteur, juste le frot tement de l’air. Et on peut doubler facilement car la voi ture a une accélération fou droyante par rapport à un véhicule thermique. » Pour le trajet retour de samedi, si l’Auvergnat n’a plus vraiment d’appréhension, il a retenu une leçon de son voyage inaugural à bord de sa Hyundai Ioniq 5 : « Avec une voiture à essence on s’arrête quand on n’a plus d’essence alors qu’avec une électrique, on programme ses arrêts mais on peut aussi les changer en cours de route. »

Source : Aujourd'hui en France, 11 juillet 2021, par ERWAN BFNEZET ET MAXIME GAYRAUD

Alors convaincu(e) ?

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